Ce fameux week-end, nous l'attendions et il arrivait enfin. A un détail près, quelques jours seulement avant, tu finis par m'annoncer que tu ne peux pas venir, un contretemps fâcheux qui réduit à néant le projet de passer 2 jours et 2 nuits ensemble.

Devant ma déception, le jeudi soir, tu m'annonces enfin que tu viendras quand même passer la nuit du samedi avec moi ... Je suis carrément soulagé.

Lorsque je t'aperçois sur le quai, je m'étonne que tu n'aies pris aucune affaire, aucun sac... Apparemment, tu voyages léger. Nous nous embrassons sur ce quai et tu te blottis contre moi, puis lorsque nous nous dirigeons vers la sortie, tu t'es accrochée à mon bras, j'adore te sentir près, tout près...

Nous arrivons mais nous ne restons pas : tu dois voir un ami non loin de là... Ensuite nous irons boire un Irish Coffee (qui n'est apparemment pas à la hauteur, mais je ne suis pas spécialiste)... et nous rentrons enfin... Après un petit diner, tu vas prendre une douche et essayer la lingerie que j'ai achetée pour toi, mais je ne te verrai pas tout de suite, uniquement lorsque je sortirai à mon tour de la salle de bains.

Tu es allongée sur le lit, en guépière de satin rose et noir, et je découvre le galbe étourdissant de ces fesses qui appellent immédiatement mes baisers, la peau est toute aussi douce que ce que j'avais pu découvrir lorsque tu t'étais assise à califourchon dans ce pub à Rouen.

Je n'en finis plus de caresser cette peau, jusqu'à ce que ma bouche ne résiste pas à l'envie de s'y poser, et petit à petit, elle s'insinue entre les fesses, laissant le champ libre à ma langue qui goûte enfin à cette intimité tant rêvée.

Combien de fois savourerai-je ton plaisir ? Honnêtement je n'ai pas compté ... Tout ce que je sais, c'est qu'à un moment, totalement épuisée, tu finis par t'endormir, et je veillerai une bonne partie de la nuit, à te regarder, à te sentir allongée tout contre moi... Le lendemain, les jeux reprennent, et cette fois, j'y mêle le vibro tout neuf que nous avons choisi ensemble... juste au moment où l'orgasme est sur le point d'exploser, c'est là que je le fais pénétrer, en toi, et apparemment tu apprécies... un peu frustrée ensuite à l'idée qu'il est déjà l'heure de repartir, car apparemment, tu étais en pleine forme et dans un état d'excitation assez avancé ...

La fois suivante, nous avons prévu de nous retrouver chez toi... c'est donc moi qui prendrai le train pour te retrouver...(A suivre)

Je t'avais croisée quelques semaines auparavant sur Abcoeur... J'étais resté très prudent car je craignais une mauvaise blague : je ne suis pas réellement habitué à ce qu'on me contacte de façon aussi volontaire, mais tu avais su me convaincre : certes, il y avait eu quelques contetemps (en particulier ces appels téléphoniques auxquels je n'avais pu répondre, ce qui t'avait un peu contrariée) mais finalement nous avions pu poursuivre et nous nous étions fixé un rendez vous.

Quand je t'ai vu arriver près de ma voiture, Gare du Nord, j'ai trouvé que ton pseudo n'était pas usurpé : tu étais mignonne et attirante... Nous avons cherché un café où prendre un verre mais il n'y avait de place pour stationner nulle part, alors j'ai finalement pris l'option de rentrer chez moi pour garer la voiture et d'aller prendre un verre à côté... Nous avons beaucoup bavardé, boulot, enfants, rapports hommes-femmes : je te regardais : tu avais un visage vraiment attirant... le détail "mariée et catholique presque pratiquante", m'a un peu intrigué. Je me suis dit "elle n'est peut être pas là pour ce à quoi je pensais" mais en fait, ça ne semblait pas te perturber de commettre l'irréparable.

Je te demande ce que tu veux faire : promenade ? non ! tu es fatiguée de la veille.
Massage ? tu acceptes. on va donc chez moi juste à côté.

Curieuse, tu regardes des photos qui trainent, puis tu t'assieds sur le canapé, et finalement me demandes un massage des pieds... ce fut une belle entrée en matière, très agréable de te masser... Tu avais retiré tes bottes, mais pour masser tes pieds, il te fallait retirer ton jean avant d'enlever tes bas.. donc tu  t'es retrouvée allongée sur le canapé, en string avec tes pieds posés en travers sur mes cuisses. Je te masse et je te sens te détendre très vite : tu me dis même que si je continue comme ça, tu ne vas plus résister longtemps, donc je continue. Tu te retournes sur le ventre, je te masse les cuisses et les mollets : tu as un cul superbe ! très rebondi... avec une cambrure dingue ! Ta peau est hyper douce... je commence à avoir très envie de t'embrasser... Je remonte sur le dos, et visiblement ça te fait de l'effet....Comme tu as froid, je te propose de te réchauffer à ma manière, et nous allons dans la chambre : tu t'allonges tout contre moi dans le lit, après m'avoir dit de me déshabiller... et là ! un long baiser profond sur tes lèvres pulpeuses : miam !!! je te sens très excitée, d'ailleurs tu me dis que tu dois retirer ton string sinon il sera trempé ! tes seins sont plutôt appétissants avec des têtons très proéminents, surtout après quelques succions de ma bouche .. 

Tu enroules tes bras autour de moi et je te caresse, effectivement, tu es très excitée, ton intimité est trempée... tes lèvres sont bien ourlées et le clitoris très dur, je le sens bien sous les doigts et encore plus sous la langue... Je te fais jouir avec le pouce tout en te léchant....

Ta main est très agréable, ferme et douce à la fois : tu m'avais dit que tu "manipulais" bien : ça se confirme ! Tu as un regard très intense quand tu prends du plaisir... Je ne sais plus combien de fois tu as joui...

Tu m'encourages, c'est troublant car tu gémis mon prénom quand tu jouis ! Tu me confies être une femme fontaine, et que tu te retiens pour ne pas exploser, mais à un moment c'est trop fort, et  tu m'éclabousses tout le visage : tu es gênée, mais moi je trouve ça fascinant : par contre les draps sont à changer !

Finalement je commence à sentir une violente excitation d'un coup, ça semble te plaire... Tu me dis que les voisins vont être dérangés, mais j'ai connu pire donc je te souris pour te rassurer... Tu finis par me chuchotter que tu aimerais que je jouisse devant toi pour te montrer combien tu m'excites... ça n'est pas très long mais ce fut très intense : apparemment, tu es convaincue, tu prends une douche pour ne pas garder mon odeur d'homme... me dis tu... moi je garderai la tienne tout le restant de la journée... comme souvenir. Tout est passé trop vite.