Vendredi 23 février
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/02
/Fév
09:14
Lorsque tu me caresses, je n'existe plus que
par ma queue. Je vois mon gland apparaître et disparaître dans un mouvement régulier à rendre jaloux un métronome. Sans serrer, tu trouves exactement la façon de faire sans en avoir
réellement parlé, tu me tiens avec douceur et malgré tout avec suffisamment de pression pour faire monter en moi la pression du désir.
J'aime me frotter sur ton bouton sensible et écarter délicatement tes lèvres sans pour autant te pénétrer en faisant des mouvements de haut en bas. J'aime te
regarder car tu ne te retiens pas, au contraire tu te laisses aller et me souris comme pour me dire que tout va bien. Mon index fait de légers mouvements dans ton sexe qui devient de
plus en plus humide. Je retire ce doigt et je me mets à explorer tout ton corps. Je t'embrasse entre les cuisses et là c'est toi qui retiens ta respiration. Je me prépare alors à te pénétrer,
j'entre délicatement dans ton sanctuaire, ma queue disparaît dans tes entrailles. Je reprends mon esprit en t'embrassant et en laissant mon glaive immobile dans ton fourreau humide et chaud
comme la braise. Puis je fais un premier va et vient puis un autre et les intervalles entre chaque coup deviennent de plus en plus petits, tu t'agrippes à moi jusqu'à laisser exploser ton
orgasme...
Lorsqu'à mon tour je jouis dans ta main, les premiers spasmes réguliers sont souvent très forts puis se calment jusqu'à ce que je reprenne mon souffle et mes esprits. Et nous sommes alors prêts
pour recommencer...encore et encore.
Par Libertin
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Vendredi 23 février
5
23
/02
/Fév
09:11
Je m'étais rendu à Rouen un samedi, et je n'avais pas prévu d'avoir à m'y rendre à nouveau le lendemain. Je t'ai donc appelée pour savoir si cela t'intéressait de m'accompagner. Je t'ai retrouvée moins d'une heure plus tard près du pont Mirabeau, où comme tout un chacun le sait, coule la Seine, et nos amours faut-il qu'il m'en souvienne (mais ceci est une autre histoire ...)
Nous arrivons donc à Rouen vers 15h20 et en repartons vers 17h30, étant restés vraiment TRES sages pendant ces quelques heures (à peine quelques caresses discrètes et légères sur le trajet aller, et ton pied venant frotter mon mollet à quelques reprises une fois parvenus à destination), le désir n'a pas tardé à peine repartis à nous tarauder... mais nous roulions à vive allure (mais en respectant les limitations, du moins au retour), donc pas beaucoup de solutions sauf... une aire de repos très boisée, mais un peu trop fréquentée à notre goût, les voitures venant faire demi tour à quelques mètres de nous...
Dans la voiture donc, nous nous sommes embrassés fougueusement, goulument, ma main droite t'enlaçant, et ma main gauche partant en exploration entre tes cuisses.
A tes soupirs et gémissements étouffés, j'ai compris que j'étais parvenu à destination, mon pouce et mes doigts firent leur oeuvre, et tu m'offris un orgasme délicieux à savourer alors que nos bouches ne s'étaient toujours pas quittées. A peine avons nous été troublés par quelques mouvements de voitures, de toute façon il y avait tellement de buée sur les vitres qu'on ne devait rien voir de toutes les coquineries que nous avons faites.
Nous sommes repartis ensuite affronter les hordes de voitures rentrant sur la Capitale... et je t'ai déposée presqu'en bas de chez toi, avant de rentrer chez moi.
Par Libertin
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Jeudi 22 février
4
22
/02
/Fév
11:15
Sur quel site t'ai je croisée pour la première fois ? Je ne pourrais le dire exactement.... Toujours est-il que ça remonte déjà à de nombreuses années. Tu es la seule à être toujours là, même si des milliers de kilomètres nous séparent, même si nous ne nous sommes jamais rencontrés.
Et pourtant, tu es sans doute la seule personne à en savoir autant sur moi.
Je me souviens de ces premières conversation sur yahoo ... et surtout de la première fois où tu as connecté ta webcam, ton visage et ton sourire radieux qui ne le quitte jamais (enfin si, mais je vais y revenir).
Tu es aussi exhibitionniste que voyeuse, et tu m'as rapidement donné le ton (à deux reprises) en te caressant pour moi, de façon très naturelle et assurée. Je revois assez nettement les images troublantes de ton plaisir : tu utilisais différents accessoires et mon regard n'arrivait plus à se détacher de toi, même si à ce moment là, je me trouvais au bureau (la seconde fois, c'était plus confortable, j'étais chez moi).
Lorsque l'orgasme arrivait, je voyais la tension sur ton visage : j'avais l'impression que tu pleurais (c'est le seul moment à ma connaissance où je ne t'ai plus vue sourire)
Que nous ne nous soyions pas rencontrés n'est pas le plus important : pour moi, seul compte le fait que tu sois toujours là, et que je te sache en bonne santé et heureuse.
Par Libertin
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