Le premier contact se fit sur Abcoeur : je reçois un jour un message d'une femme de province dont le contenu m'amusa beaucoup : en substance, il disait "Bonjour, j'aimerais correspondre avec vous... je serai en formation à Paris la semaine prochaine"... message auquel je répondis aussitôt par "Je serai ravi de faire votre connaissance, mais savez vous qu'il n'est pas nécessaire d'être dans la même ville pour correspondre avec quelqu'un ?".

Après avoir échangé quelques mails, nous avons pris rendez-vous, près de son hôtel du côté de Montmartre.

Je l'attendais à la porte et je vis apparaître une femme habillée de façon très sexy, jupe très courte, vêtements légers voire vaporeux... Elle était brune, la quarantaine, très sensuelle, en tout cas un regard qui en disait long sur ses intentions. Nous avons diné dans un petit restaurant indien que je connaissais et qui se trouvait non loin de là. Elle me raconta sa vie : son divorce, ses rencontres purement sexuelles où des hommes de passage viennent la voir uniquement pour prendre leur plaisir et la laisser ensuite, ses sorties en club échangiste pour accompagner un copain, bref un tableau assez noir et destructeur. Nous avons ensuite pris un cocktail au bar panoramique du Concorde Lafayette, confortablement installés dans un canapé, dominant tout Paris illuminé... Après pas mal de temps passé très près l'un de l'autre, je me lance et je l'embrasse tendrement... Elle ne tarde pas à me rendre mon baiser (elle se demandait en fait ce que j'attendais, et me fit plus tard un très beau compliment : j'étais "différent" des autres) et me propose de l'accompagner jusqu'à sa chambre : le message est clair, sans ambiguité. Nous rentrons et à peine arrivés dans la chambre, nous nous retrouvons sur son lit : je commence à la caresser ... j'avais prévu de rentrer tard (minuit - 1 heure) et en réalité, je ne ressortirai de là qu'à 7h du matin ! J'ai passé la nuit à la savourer avec ma langue : elle n'en avait jamais assez : je me souviens avoir entendu des touristes américains passer dans le couloir en riant... Ce fut une nuit terriblement agréable... et comme souvent, pas de pénétration le premier soir.

J'ai continué de la voir tous les jours suivants à son retour de formation et après ma journée de travail, je l'attendais devant son hôtel, et nous passions quelques heures ensemble. Elle employait tous les moyens possibles pour que je reste avec elle, mais j'avais d'autres obligations. Elle fut la première à poser pour des photos de charme. C'est grâce à elle que j'y ai pris goût.

Elle est revenue encore une semaine, dans un autre hôtel, plus près de mon domicile. Nous avons fait l'amour tendrement mais intensément, de longues heures durant : une fois, nous prenions une douche ensemble, et me frotter contre elle sous l'eau qui coulait sur nous me mit dans tous mes états, le lit étant juste à côté, il ne fallut pas longtemps pour que je m'allonge sur elle en missionnaire (position qu'elle préférait malgré la différence de taille et de poids). Nous n'avions même pas pris la peine de nous essuyer...

Le plus amusant, c'est qu'un jour, alors qu'elle gémissait sous mes coups de rein, nous avons entendu des gémissements dans la chambre d'à côté qui répondait aux siens : visiblement un autre couple nous donnait la réplique, chacune des femmes répondant à l'autre en quelque sorte : première rencontre en groupe pratiquement...

Une autre fois, une femme de ménage débarqua sans prévenir et nous trouva en pleine action !

Elle était prête à tout : elle me proposa de la sodomiser, elle me disait tout aimer.

Elle devint progressivement possessive, insistant pour que je vienne passer des week-ends chez elle mais ce fut impossible.. elle devenait jalouse des femmes que je pouvais rencontrer ou simplement croiser.

Finalement, je l'ai invitée à passer une semaine pendant l'été.. ce fut tendre mais pas aussi torride (malgré la canicule) : je jugeais qu'elle n'avait pas besoin de cela, ses dernières expériences l'avaient minée, et elle avait surtout besoin de tendresse. Nous devions faire des photos encore plus osées que les premières, voire une vidéo, mais j'ai préféré m'abstenir pour les mêmes raisons : j'aurais eu l'impression d'abuser d'elle comme tous ces hommes qu'elle fréquentait.

J'ai peu à peu perdu contact avec elle, j'espère simplement qu'elle va mieux, qu'elle a réagi et a enfin arrêté de se détruire comme elle le faisait.

 J'ai croisé cette "Mystérieuse Odalisque" comme elle se définissait elle même un soir sur rencontres2000. Le ton devint rapidement sensuel : elle se définit elle-même comme "soumise". J'étais réticent, ce genre de relation n'entrait à priori pas dans le cadre de mes recherches.... mais l'excitation de la conversation gagna du terrain et je finis par l'inviter à passer un week-end chez moi. Elle accepta rapidement, mais 2 jours avant la rencontre, elle se ravisa (je la comprends : il n'est déjà pas évident de rencontrer un inconnu, mais lorsqu'en plus il faut prendre un train pendant plusieurs heures, ça ne simplifie pas les choses). Elle vivait en Alsace, près de Mulhouse. La distance n'était pas négligeable... Finalement, elle me proposa à la place de venir passer ce fameux week-end chez elle : sa fille était absente et elle pouvait me recevoir. Je n'ai pas réfléchi plus longtemps qu'il n'en faut pour réserver mon billet, et me voilà embarqué pour une avanture qui dépassa ce que je pouvais imaginer...

Ce n'est que dans le train, à mesure que je m'éloignais de Paris, que les interrogations, les doutes et quelques craintes ont commencé à apparaître : y-aurait-il quelqu'un à la gare ? me plairait-elle ? lui plairais-je ?

Le trajet aller dura 4h30... une éternité... Je me rendais compte que mon costume allait être complètement froissé en arrivant : quelle impression allais-je bien donner ? Finalement, en sortant de la gare, j'ai reconnu le modèle de voiture qu'elle m'avait décrit, ce qui m'ôte un premier poids. Je ne la découvre qu'une fois installé à côté d'elle. Elle a du charme, des faux airs de Charlotte de Turckheim, je suis un peu intimidé... Elle me demande alors  si on va chez elle : je réponds oui par réflexe, je ne voyais pas où nous aurions pu aller vers 22h30, totalement perdu dans cette ville qui m'est encore inconnue. Une fois arrivés, son intérieur me rassure, j'adore la décoration qu'elle a réalisée, mélange chaud et intimiste, oriental et classique, des sculptures indonésiennes ou indiennes, des miroirs... une atmosphère très sensuelle, à sa mesure.

Elle a fait des folies : foie gras, champagne, nourriture fine... En fait, je ne mangerai quasiment rien, n'ayant vraiment pas la tête à ça du week-end... Elle me fascine, je finis par l'embrasser (elle me tend la perche). A partir de là, j'entre dans un autre univers : je lui fais découvrir les plaisirs que l'on peut procurer avec une fraise bien fraiche, et surtout ce qu'elle adore : la "minette" (je n'avais jusqu'alors pas l'habitude d'employer cette expression, que je connaissais). Elle me précise que trop peu d'hommes à son goût le font bien, or j'adore ça... et nous ne nous en priverons pas : la première nuit, nous avons dû dormir 3h à peine. Je me souviens qu'elle s'est allongée à califourchon sur mes cuisses, m'offrant une vue directe et incroyable sur ses fesses et son sexe, pour m'exciter plus encore... Je me souviens avoir joué avec un vibromasseur, que j'utilisais pour la sodomiser (elle adorait ça, et elle fut mon initiatrice dans ce domaine, j'en reparlerai plus loin) tout en la léchant goulûment. Elle s'était mise à plat ventre, relevant de façon provocante ses fesses, poru m'offrir un accès total à son anus, et elle me confia s'être regardée dans le miroir qu'elle avait disposé à côté du lit pour mieux profiter du spectacle. Après avoir enduit le vibromasseur de beaucoup de lubrifiant, je le fis pénétrer lentement, pendant que ma langue s'occupait de son sexe... je crois que le plaisir fut intense, au point qu'elle finit par s'endormir dans cette position juste après l'orgasme.

Au petit matin, réveillé avant elle, je me suis collé et frotté contre son dos. Elle me confia plus tard que ce n'est que par respect pour moi qu'elle ne donna pas le coup de rein qui l'aurait fait s'empaler sur mon sexe... D'ordinaire, je ne fais pas (sauf exception) l'amour à la première rencontre : je suis trop accaparé par la découverte du corps de ma partenaire, de ses réactions à mes caresses, des caresses qui plaisent le plus, qui procurent le plus de plaisir.

Alors que je prenais une douche, elle vint me savonner, empoignant mon sexe à pleine main, faisant courir ses mains sur moi... C'était la première fois qu'une femme me faisait cela..

Lorsque nous prenions le petit déjeuner, je lui caressais les cuisses, remontant plus haut tout en nous dévorant des yeux... nous restâmes nus tout le week-end. J'ai aussi utilisé du yahourt sur son sexe, que j'ai dégusté goulûment, de la crème dessert sur la pointe des seins...

A peine avons nous pris le temps de sortir le dimanche, pour aller faire un tour près d'un lac, où elle m'avait dit qu'il était possible de faire toutes sortes de choses, mais il avait plu la veille, et la boue rendait impraticable toute vélléité de sexe à cet endroit. Alors nous sommes repartis, pour nous garer dans un sous-bois : j'ai commencé à la caresser, mes doigts l'ont pénétrée, elle était très excitée et avait posé ses pieds sur le tableau de bord, m'offrant son intimité largement ouverte. Nous avions placé le rétroviseur de telle façon qu'elle puisse voir mes doigts en elle.. elle prit d'ailleurs une photo dans cette position. Elle me confia avoir le fantasme que des hommes entourent la voiture et nous regardent? Or, à ce moment là, je vis quelqu'un qui paraissait vaguement se diriger vers nous et amusé, je le lui dis... Je la vis paniquer et elle démarra en trombe.. J'ai le souvenir de mes doigts tous fripés, oui, décidément, elle était très excitée...

Le reste du week-end fut du même style : volupté et plaisir à profusion, elle me parla longuement de l'univers S/M, me montra de très belles photos, elle me fit découvrir un monde sur lequel j'avais pas mal d'à priori. Même si je ne partageais pas ces goûts-là, au moins, je pouvais mieux les comprendre grâce à elle... Je repartis le lundi et restai tout le trajet du retour bercé par mes souvenirs torrides...

L'histoire ne s'arrête pas là...