Tu m'avais abordé sur un site de rencontres et tu m'avais paru très volontaire et très directe. C'est suffisamment rare pour attirer mon attention : ma photo t'avait plu alors tu voulais en savoir plus. Nous sommes rapidement passés sur Msn, et là même enthousiasme. Même l'image par webcam te plaisait, comme ma voix... bref, le rendez-vous semblait couler de source, d'autant plus que les photos que tu m'avais envoyées m'avaient vraiment intéressé : en particulier deux photos où tu étais torse nu, de dos. J'adore les dos féminins !
Bref, nous nous rencontrons une première fois dans un lieu "neutre", en l'occurrence Rouen. J'avoue que je n'ai pas été à la hauteur cette première fois, préférant ne rien montrer de mon attirance tant que je n'étais pas sûr de la tienne... En fait, j'avais remarqué que tu étais très tactile, que tu prenais certaines initiatives, mais je n'étais pas complètement sûr que je t'attirais vraiment. Du coup, tu as cru que tu ne me plaisais pas alors que c'était tout l'inverse : je n'osais même pas croiser ton regard de peur qu'il ne me trahisse... c'est mon coup de fil en arrivant à St Lazare qui t'a rassurée... et nous avons donc convenu d'un 2e rendez-vous : nous avons cette fois passé la journée ensemble, toujours à Rouen et là les choses furent différentes : déjà, dans ce bar où nous avons pris un café : tu t'es assise à côté de moi, et tu as glissé ta main sous ma chemise... ta main froide me faisait frissonner mais ce n'était pas du tout désagréable de la sentir courir sur moi. Tes baisers étaient dévorants, passionnés, ta langue se faisait animale, me lapant presque à chaque fois que j'étais à sa portée.

Lors du déjeuner, ton pied venait froler ma cuisse et même mon entrejambe, tu ne te souciais absolument pas des regards des autres clients, ça ne me dérangeait paradoxalement pas trop.

Nos mains ne se quittaient pratiquement jamais ...

Lorsque nous nous promenions, et que tu t'arrêtais devant une vitrine, j'adorais me glisser derrière toi pour t'enlacer, et je fus plus d'une fois surpris de te sentir te cambrer et frotter tes fesses contre mon ventre...alors que ma bouche dévorait ton cou de baisers brûlants.

Le summum, ce fut dans ce pub que tu semblais connaitre : nous nous sommes installés au premier étage, à l'écart des autres consommateurs : il n'y avait là qu'un seul homme, qui à mon avis n'a pas dû en revenir. A un moment tu t'es levée et tu m'as enjambé pour t'asseoir à califourchon sur mes cuisses, mes mains se sont enroulées autour de ta taille fine, et nous avons échangé un baiser à couper le souffle... je te sentais onduler, et je t'ai même entendu gémir. J'adorais sentir ta cambrure sous mes doigts...

Ensuite tu t'es retournée et tu t'es frottée sur mes cuisses et mon ventre, tout en relevant ton chemisier pour que je puisse caresser ton dos. J'imaginais l'état du consommateur.

Nous nous sommes quittés trop vite, mais nous avions prévu de passer un grand week-end ensemble, chez moi cette fois... cela fera l'objet d'un autre article...