A cette époque, j'étais encore surpris de découvrir qu'"Elle" ne portait pas de soutien gorge. Ensuite, non seulement elle a continué de ne plus en porter, mais elle a abandonné la culotte en prime, pour mon plus grand plaisir. Même si je restais plus prudent qu'elle ne l'aurait souhaité, il était agréable de savoir qu'elle était toujours "prête" à recevoir mes caresses.

Nous commençons donc à flirter gentiment, échangeant des baisers profonds et fougueux... puis le désir se fait sentir. Comme précisé dans un article précédent, je n'étais encore qu'un "caresseur", mon envie c'était de glisser mes doigts entre ses cuisses, ou pourquoi pas, comme j'avais "osé" le faire ce fameux été caniculaire, avec une autre partenaire, y glisser me tête pour savourer son nectar intime.

Au bout d'un bon moment, entrecoupé par des interruptions liées au passage d'importuns (quelquefois lents, me donnant des envies de les pousser à l'eau...), "Elle" s'enroula dans la couverture, relevant par la même occasion sa jupe. Je profitai donc de l'occasion pour pouvoir enfin la caresser : mes doigts ne tardèrent pas à rencontrer une tiède humidité, me confirmant qu'"Elle" m'attendait... et blottis l'un contre l'autre, nos regards rivés l'un à l'autre, je la regardai alors s'abandonner aux vagues de plaisir qui ne tardèrent pas à la submerger... De tous les signes annonciateurs, c'était son regard qui révèlait en premier l'excitation et le désir... Un changement de ton, ses yeux prenaient une couleur miel, s'entrefermaient... C'était délicieux et troublant à la fois... s'ensuivent soupirs et gémissements jusqu'à une explosion, qui n'est jamais finale, puisqu'"Elle" peut enchaîner les orgasmes les uns à la suite des autres...

Nous sommes ensuite sortis pour nous rendre dans un parc de l'ouest parisien..

Après nous être un peu promenés, je l'ai guidée vers un endroit plus tranquille un peu à l'écart des promeneurs, mais pas assez isolé à mon goût. Nous nous sommes installés sur une sorte de caillebotis, en déposant une couverture afin de nous allonger. Après une petite sieste, nos sens se réveillèrent à nouveau. "Elle" ne portait jamais de culotte lorsque nous nous voyions, et je m'inquiétais un peu de la voir replier ses jambes, pouvant offrir au regard de n'importe qui, pouvant passer à ce moment là, une vue très intime.

je finis par m'asseoir devant "Elle" et je glissais un doigt timide entre ses cuisses chaudes..."Elle" n'attendait que ça... J'aimais découvrir cette liqueur chaude, savoir qu'"Elle" était excitée.

Nous avons ensuite continué notre promenade pour trouver un autre coin agréable, en lisière d'un plan incliné en gazon, protégé modérément par quelques vignes sauvages. En extérieur je suis extrêmement prudent, et je guette tout regard insistant ou curieux, j'étais gourmand des plaisirs qu'"Elle" m'offrait et je n'aurais pas aimé les donner en pâture à n'importe qui. "Elle" s'était allongée sur une sorte de siège épousant les formes du corps, ses cuisses à portée de mains. Il ne fallut pas longtemps pour que je comprenne qu'"Elle" avait à nouveau envie de mes doigts sur et en elle... mon épaule et sa robe trahissaient ce qui se passait, mais après quelques craintes, j'ai fini par passer outre, tout en faisant attention à ne pas trop attirer l'attention, les familles commençant à devenir plus nombreuses dans ces lieux.

Lorsque je conduisais, j'aimais qu'"Elle" passe sa main sur ma cuisse, en fait il ne se passait jamais bien longtemps sans que nous nous touchions, nous avions, je pense, besoin de ce contact physique entre nous, et nous ne nous en lassions jamais.

Revenus chez moi, nous fîmes à nouveau l'amour, mais cette fois j'eus envie de la regarder de face... elle était allongée dans le canapé face à moi, je la voyais onduler et gémir. Dehors, une manifestation rythmait mes mouvements de bassin...