La rencontre que je vais raconter démarre comme toujours en ce qui me concerne par une conversation sur un site : en l'occurrence sur rencontres2000 et sa version coquine zonex.rencontres2000. Comme je l'évoquais dans l'article précédent, je ne me dévoile jamais au grand jour, j'attends en fait de déceler des affinités communes avec une personne pour en dire un peu plus : il ne me viendrait jamais à l'idée d'aller aborder une collègue de travail (elles ne soupçonnent absolument rien d'ailleurs...), ni une femme dans la rue (je ne sais pas faire). En fait, j'ai besoin d'avoir des indications sur ce que recherche une personne avant de proposer quoi que ce soit. Je n'insiste jamais : je m'efface si je sens que je ne peux pas convenir...

Donc pour en revenir au sujet, nous bavardons longuement, plusieurs jours durant, puis un malentendu sur un détail et nous nous perdons de vue rapidement...

Je la retrouve,, mais cette fois nous ne laisserons plus le hasard s'en mêler. Nous échangeons beaucoup de photos : les siennes me fascinent par leur sensualité : j'en fais de moi dans toutes sortes de situations : elle semblent lui plaire. Elle me confie ses expériences bi, nous en arrivons même à envisager un trio avec une de ses amies, un jour prochain. Je finis par lui proposer un pique-nique, je lui confie que j'ai une idée derrière la tête : elle accepte, en fait elle est intriguée, curieuse de me rencontrer.

Nous nous retrouvons près de Versailles, pour nous rendre dans un lieu que je connais bien et qui est idéal lorsqu'il fait chaud dehors (il fut le témoin d'ébats torrides par la suite... à suivre dans un prochain article)

Nous déjeunons agréablement, je me rapproche peu à peu d'elle, jusqu'à l'embrasser, mes mains commencent progressivement à courir sur ses bras, sur sa peau soyeuse : elles vont finir leur course folle en remontant le long des cuisses, et je constate qu'elle est déjà vraiment très excitée : je trouve troublant de ressentir cette douce humidité au bout des doigts. Comme je m'applique à toujours avoir un léger retard par rapport aux envies, ça fait d'autant plus monter le désir, et le plaisir lorsqu'il survient n'en est que plus intense, comme pour se venger d'avoir tant attendu.

Le seul problème en l'occurrence, c'est que l'endroit où nous nous trouvons n'est pas des plus isolés, même si nous sommes seuls pour le moment : on peut nous voirde loin, et d'ailleurs des promeneurs passent régulièrement, ce n'est donc pas très pratique, mais l'excitation et l'envie sont plus fortes et je finis par ne plus trop me préoccuper de l'environnement. Elle jouit plusieurs fois d'affilée sous mes doigts, mais ce que je désire par dessus tout, je ne l'ai pas encore obtenu. Finalement, je me glisse entre ses douces cuisses chaudes et je soulève sa jupe, ma langue fait le reste et elle gémit de longues minutes... J'ai rêvé de prolonger ces instants en lui demandant de venir passer la soirée chez moi.

En fait, j'avais un rendez vous le soir même avec un couple débutant qui me recevait chez eux, dans l'Oise. J'ai vraiment hésité, devais-je annuler ou pas ?

Je pense avoir fait le mauvais choix (même si la rencontre suivante fut savoureuse !) car je crois qu'elle n'attendait que ma proposition et que je l'ai donc déçue. Nous nous sommes séparés à l'endroit où nous avions laissé nos voitures, je l'ai croisée quelques semaines sur Msn, puis nous nous sommes perdus de vue.

 J'ai depuis longtemps mêlé la nourriture aux caresses que je procure avec ma langue et ma bouche :

- Je pourrais citer en premier la fraise, anodine en apparence mais terriblement efficace et sensuelle. Je les choisis bien ferme, bien charnues, et bien fraiches... Une forme suggestive n'est pas pour me déplaire et provoque souvent une étincelle coquine dnas les yeux de celle qui la découvre et qui devine sans doute l'usage que je vais en faire. Je peux commencer par effleurer la pointe d'un sein, la faire courir en effleurantes caresses sur le ventre, et continuer sa progression vers sa destination ultime.

Le contact est doux et en même très très stimulant... En général, il n'y a pas longtemps à attendre avec que la fleur intime ne s'entrouvre délicatement, ses deux pétales de chair laissant accès à des zones nacrées et délicieusement humides. Je caresse pointe du fruit vers le haut qui titille le petit bourgeon à chaque passage.

C'est alors que j'utilise ma langue qui contraste par sa chaleur... Elle parait presque brûlante en comparaison. Le passage de l'un à l'autre ne manque pas de provoquer des soupirs ou des gémissements, les cuisses s'entrouvrent alors complètement... Je fais un peu durer les choses, plus on prend son temps, plus l'explosion finale est intense ...

Au fur et à mesure que l'excitation monte, que le plaisir s'amplifie, il se produit une douce alchimie : le fruit et la chair exhalent leurs parfums et il semble se produire un échange de senteurs... Il peut être nécessaire d'utiliser plusieurs fraises successivement, le tout étant de continuer à faire monter la pression, en croquant de façon provocante le fruit utilisé tout en regardant sa partenaire (le partager dans un baiser enflammé est aussi à conseiller). Il est aussi possible de faire tourner la fraise comme une sorte de toupie érotique, comme si on avait l'intention de faire pénétrer le fruit dans l'intimité ruisselante de sa partenaire (qui à ce moment là est pratiquement prête à toutes les expériences...)

Consacrer les derniers instants avant l'orgasme à des caresses directes de la langue : ne surtout pas ralentir le rythme au contraire ... quel que soit le rythme adopté, il doit aller crescendo, un orgasme puissant est à ce prix...

- Autres pratiques excitantes : faire couler quelques gouttes de champagne le long du dos, et le déguster à même la peau, de préférence le plus bas possible entre les cuisses. Leur descente provoque de délicieux frissons, mais annoncent aussi l'issue finale... excellent prélude à un cunnilingus raffiné (A consommer sans modération si vous ne devez pas reprendre la route immédiatement)

- Il est délicieux de déposer un peu de crème dessert liquide au chocolat (dont une marque connue prétend qu'on se lève tous pour elle) sur la pointe des seins : pas besoin de mode d'emploi, on devine immédiatement que la bouche va entrer en action : à noter que l'excitation des tétons par ce moyen est nettement plus forte, peut être à cause de la mise en scène, probablement là aussi à cause du contraste chaud-froid, et certainement parce que la bouche et la langue s'appliquent nettement plus...(la récompense est double : gourmandise et plaisir d'exciter). On peut utiliser de la confiture, du miel, de la chantilly à la place (selon les goûts)

Bon appétit et attention au diabète en cas d'utilisation exagérée et prolongée...