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Sur Zonex.Rencontres2000.com, je tombe par hasard sur la fiche d'un couple qui désirait expérimenter plusieurs sortes de rencontres : vace une femme, avec un couple, avec un homme,...
Je prends donc contact avec eux, simplement pour faire connaissance. Un certain feeling passe : c'est surtout la femme qui est intéressée : elle insiste même pour que l'on se voit tout de suite. Je trouve que c'est un peu rapide, et nous finissons par en parler au téléphone. Le mari lui est plutôt réticent, il préfèrerait commencer par un couple (je devine pourquoi) mais sa femme et mes propos que je veux rassurant finissent de le convaincre : je lui dis simplement que je ne suis pas là pour leur poser problème ou pour profiter d'eux, mais simplement pour offrir à son épouse une expérience excitante, je propose même de lui mettre un bandeau pour les yeux pour amplifier ses sensations, il est réticent au début mais finit par me croire.
Nous avons rendez-vous devant la gare de Chantilly : je n'ai vu aucune photo d'eux, mais je les vois arriver : la femme parait intimidée et reste dans la voiture, mais m'observe en souriant à travers la vitre. C'est avec son mari que j'ai le premier contact : un colosse qui se révèle très accueillant, quoiqu'un peu sur la réserve au début.
Je les suis en voiture jusqu'à leur maison, nous entrons et nous nous installons pour boire un verre et discuter. Ils m'expliquent leurs sorties en club, leurs recherches restées infructueuses. Lorsque son mari s'absente pour aller chercher je ne sais quoi, elle en profite pour glisser sa main sur ma cuisse et remonte... La fois suivante, elle tente de m'embrasser : je lui dis que ce n'est pas raisonnable, son mari étant à côté.
Au bout d'un moment, elle manifeste son "envie" de façon à peine masquée : c'est alors qu'il l'installe sur un petit matelas qu'il a posé sur la table du salon. Il lui bande les yeux (mon idée a donc été retenue) et commence à la caresser, tout en la déshabillant.
Je la frôle plus que je ne la caresse, je laisse surtout l'initiative au mari, de toute façon elle ne se rend compte de rien. Les caresses durent un bon moment, elle cherche à nous toucher (enfin surtout moi) mais comme elle ne voit rien, ses mains s'égarent sans parvenir à ses fins.
Finalement, très excitée, elle me demande des caresses avec ma bouche. Je regarde (un peu inquiet) le mari qui me sourit et m'invite à la satisfaire. Pendant que ma langue s'active alors sur elle, elle s'occupe avec la sienne pour satisfaire son mari. Elle finit par jouir bruyamment en me broyant presque les doigts et après un petit moment de repos, nous buvons une coupe de champagne : elle est toujours nue et allongée sur la table, nous sommes lui et moi assis à côté d'elle. Ses doigts dégraffent ma chemise et caressent mes épaules et mon torse. Elle aimerait plus mais il est déjà très tard. Quand je passe dans la salle de bain pour me rhabiller un peu, elle profite de l'occasion pour me suivre et glisser ses mains un peu partout... Evidemment, elle attend plus mais je dois rentrer (ils attendent l'arrivée d'un proche un peu plus tard). Lui me guide avec sa voiture pendant une dizaine de kilomètres jusqu'à la route qui me ramènera à Paris. Il me salue même en souriant et en me disant qu'il avait apprécié et que nous nous reverrions. En fait, les choses se sont passées différemment.
Et si tu n'existais pas,
Dis-moi pourquoi j'existerais.
Pour traîner dans un monde sans toi,
Sans espoir et sans regrets.
Et si tu n'existais pas,
J'essaierais d'inventer l'amour,
Comme un peintre qui voit sous ses doigts
Naître les couleurs du jour.
Et qui n'en revient pas.
Et si tu n'existais pas,
Dis-moi pour qui j'existerais.
Des passantes endormies dans mes bras
Que je n'aimerais jamais.
Et si tu n'existais pas,
Je ne serais qu'un point de plus
Dans ce monde qui vient et qui va,
Je me sentirais perdu,
J'aurais besoin de toi.
Et si tu n'existais pas,
Dis-moi comment j'existerais.
Je pourrais faire semblant d'être moi,
Mais je ne serais pas vrai.
Et si tu n'existais pas,
Je crois que je l'aurais trouvé,
Le secret de la vie, le pourquoi,
Simplement pour te créer
Et pour te regarder.
(paroles et musique de Pierre Delanoé, Claude Lemesle)
Sur de frêles esquifs surchargés de plaisir La belle me tend sa croupe comme par provocation Je sens monter en moi une envie inavouable Elle aime à faire germer des désirs coupables m'offrir de tels instants sans procuration. Cherchant à faire sortir de moi cette bête lubrique prête à toutes les folies de luxure orgasmique Elle connait tout de moi et excite mes ardeurs Jusqu'au plaisir ultime dont nous avons envie Où les corps alanguis offerts et sans pudeur s'abandonnent au repos, et reviennent à la vie.
Tourbillon de la vie emportant mes désirs
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