Cet été là, le soleil fait bouillir mon esprit qui n'avait déjà pas besoin de ça pour surchauffer, tant il est submergé d'images torrides. La canicule qui baigne le bureau dans lequel je me trouve me rappelle des moments de plaisir, où, dans l'obscurité d'une nuit d'été, tes gémissements se faisaient l'écho de mes caresses : tel un fauve assoiffé, j'étais alors en train d'étancher ma soif entre tes cuisses soyeuses, hypnotisé par ton regard brillant dans la nuit... avant de t'abandonner et de laisser tes miaulements puis tes cris embraser l'air ambiant. A peine nos sens assouvis, plus provocante que jamais, tu t'étais mise à genoux, puis, dans une position affolante, m'avais fixé droit dans les yeux. Les mots étant inutiles, j'avais alors laissé parler nos pulsions, et ma virilité durcie de désir s'était enfoncée progressivement dans tes entrailles humides de rosée intime, accueillie par un long soupir plaintif et libérateur de l'envie qui nous taraudait tous les deux... Repus de jouissances, trempés d'excitation et de sueur, nous reprenions par moment notre souffle et nos esprits, avant de nous laisser gagner encore et encore par l'envie de ne plus faire qu'un... source : www.patrickrogelet.com
Ô journal intime, confident de nos désirs secrets, sois mon messager.
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